Women's roles in Post Harvest Losses (PHL)
FAO estimates from 2011 show that as much as 37 percent of food produced in Sub-Sahara Africa is lost between production and consumption. This loss is due to poor handling, storage and other aspects of Post-harvest Losses (PHL).
It is therefore imperative that in working towards ending hunger in Africa, dedicated focus is placed on addressing PHL. Evidently women play an important role in these efforts, even as they engage in other roles pertaining to production, reproduction and community aspects.
For women to be effective in the PHL efforts, we need to address certain fundamentals issues:
- What is PHL within the context of ECOWAS?
- What are the key causes of PHL?
- What are the main policies recommendations, actions and strategies that should be put in place to support women to fight PHL in the ECOWAS region bearing in mind that women are already overloaded with production, reproduction and community roles?
les rôles des femmes dans les pertes après récolte (PAR)
Selon les estimations de la FAO de 2011, 37 pourcent des aliments produits en Afrique Sud du Sahara sont perdus entre la production et la consommation. Cette est due à la mauvaise manipulation, mauvais stockage et à d'autres aspects de la Perte Après Récolte (PAR). Il est donc impératif qu’en travaillant dans le but de terminer la faim en Afrique, un accent soit mis sur les stratégies pour adresser la PAR. Il est évident que les femmes jouent déjà un rôle très important dans le cadre de terminer la faim en Afrique malgré leurs multiples rôles dans la production, reproduction et autre services communautaire.
Pour que les femmes soient effectives dans les efforts de lutte contre la PAR, nous devons adresser certaines questions fondamentales :
- Qu'est-ce que la PAR dans le contexte de la CEDEAO?
- Quelles sont les principales causes de PAR?
- Quelles sont les principales recommandations, actions et stratégies politiques qui devraient être mises en place pour aider les femmes à lutter contre la PAR dans la région du CEDEAO tout en sachant que les femmes sont déjà surchargées à cause de leur rôles dans la production, reproduction et les activités communautaire?